Cafe Racer Festival 2015

Les 20 & 21 juin sur l’autodrome de Linas-Montlhéry

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C’est à l’occasion de la 3éme édition du Cafe Racer Festival sur l’autodrome de Linas-Montlhéry les 20 & 21 juin que je me retrouve dans l’enceinte du circuit mythique et unique de Montlhéry.

L’année passée, j’avais fait le déplacement avec ma petite femme et la super seven, en simple spectateur et j’avais adoré cet événement. Cette année c’est avec la fourgonnette « ex-bougez avec la poste », mes deux pétoires (la petite SUZ’ (son histoire ici) et la Bien Molle (son histoire ici)), mon stock de T-shirts, toiles, plaques alu et mon inséparable que j’investi les lieux en tant qu’exposant.

Le cafe racer, c’est ma passion, aucun autre style de pétoire ne me fait autant craquer et je ne pouvais pas manquer le plus grand rendez-vous du genre en France, même le prix exorbitant de l’emplacement ne m’a pas fait reculer, juste grincer des dents.

Je savais que je ne pourrais jamais rentabiliser mon déplacement, mais qu’importe, il faut se faire connaitre et rencontrer les amateurs de ces bécanes racés et sonores que j’affectionne.

Un week-end aux portes du bonheur, même si je n’ai pas pu arpenter les allées du Festival comme je l’aurais souhaité ni même pu assister aux sprints endiablés et au mur de la mort (tenue du stand oblige) j’y ai rencontré des passionnés de tous genres, des hypsters Parisiens, des tatoués, des bimbos, des gravures de mode, des motards de tous bords, des vieilles gloires de la moto, des Anglais moustachus, des Allemands barbus et tant d’autres, mais surtout des motos modifiées, racérisées, créées de toutes pièces pour certaines et c’est pour ça que je ne pouvais pas manquer THE Cafe Racer Festival.

Après la nuit de vendredi plutôt calme, la journée du samedi fut beaucoup plus mouvementée, un flot incessant de curieux et badauds déferlent dans les allées du village d’exposants, c’est là qu’on rencontre vraiment le public et il faut expliquer et démontrer mes créations : non, non, ce n’est pas un couvercle de boite à chaussures, c’est une toile imprimée et tendue sur un châssis en bois (c’est du vécu)… enfin beaucoup de travail de description et d’éclaircissement.

J’ai même retrouvé le fantôme de «Barry Sheene » aperçu aux coupes moto légende (retour sur les coupes ici) et j’ai pu mettre un nom et un visage sur le proprio de la moto, la combi et le casque du légendaire champion disparu, une belle rencontre.

Le samedi se termine par la remise des prix du plus beau cafe racer suivit d’un apéro-concert  rock devant et sur la scène du festival puis par le Rockabilly distillé par l’Ace Café (mon voisin d’en face), plus ou moins fort jusque tard dans la nuit (la fête de la musique était de la partie).

Le dimanche se déroule un peu comme le samedi avec de belles rencontres, les  clients des Iron Bikers et des Classic Machines qu’on salue à chaque passage, on commence à se connaitre, tout ça dans la virulente symphonie des racers avec toutes ces senteurs mécaniques, puis la visite de mes ami(e)s dans l’après-midi, une excellente journée en somme !

On plie bagage vers 19h00, retour dans mon pays du Nord sous le soleil, encore de beaux rêves en perspective !

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